Quelle est la recette d’un tube ? Dvořák en donne un bon exemple avec ce finale cultissime ! Le début est un unisson aux cordes qui s’amplifie à l’orchestre et annonce le thème principal.
Entonné par les cuivres (cors et trompettes), ce thème inoubliable se veut épique et majestueux.
De nombreuses mélodies de cette symphonie sont influencées par la musique populaire américaine. Admirateur de Brahms, Dvořák y ajoute une solide maîtrise de l’orchestration.
Après un passage aux cordes seules, Dvořák fait revenir le thème à tout l’orchestre avant de changer d’idée.
Surgit un thème en triolets aux violons, énergique et bondissant, qui secoue tout l’orchestre !
Irrésistible, ce Dvořák !